dimanche 30 décembre 2012

Ne m'obligez pas à faire la fête !

Les fêtes improvisées. Pour moi, ce sont les plus top, celles où l'on s'amuse en général le plus.
Cette photo prise sur le vif, c'était un soir d'août à la "maison de la plage", la maison de famille où tout le monde se retrouve pour toute occasion ou même sans occasion.
Juste pour le plaisir de se retrouver en famille, entre amis et entre copains.
Cette maison, c'est aussi un peu beaucoup la maison de la fête et du relâchement.
Mais cette maison, je vous en reparlerai plus tard, il y a de quoi dire, ne vous inquiétez pas !

En attendant, ce billet, je voulais l'écrire juste parce que demain, c'est le "Jour de l'An".
Le "Jour de l'An", perso, c'est la fête que je déteste le plus je crois.
Tout simplement parce que j'ai cette vilaine impression qu'on m'oblige à faire la fête.
"Tu fais quoi au Jour de l'An ?" .
Je la déteste cette question. Non pas que les gens qui me la posent me saoulent (non, non, toi qui me lis, ne te sens pas visé, lis la fin de ce billet et peut-être que tu me comprendras ;-) ), mais c'est cette idée de te dire que telle date, tu te dois de faire la fête parce que voilà, quoi, tu changes d'année (et alors, ça vous change la vie ?) et puis tout le monde fait la fête, et puis c'est la tradition.
Justement ce "parce que tout le monde fait la fête", c'est ce qui me fait un peu me recroqueviller sur moi-même quelque part : je n'aime pas faire le mouton, j'ai un caractère un peu de con, je vous l'accorde, mais je suis comme ça, c'est tout (cela dit, je ne pense pas être hermétique, il y a donc toujours certainement moyen de me convaincre).
Et parce que, "c'est la tradition".

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mercredi 26 décembre 2012

C'est quand la trève ? (ou l'appel de parents épuisés)


Cet attirail vous est familier ? Si non, si vous saviez comme je vous envie.
Presque 4 mois que cela dure.

Vous vous rappelez ce superbe été dont nous avons bien profité, étendu chaque jour dans sa chaise longue avec un bon bouquin ?
Cet été si splendide où il a plu tellement que les sales petites bestioles n'ont fait que proliférer à tout va et rendre notre environnement un peu malsain ?
Oui, vous vous en souvenez sûrement car cet été pourri a bien conditionné nos belles longues soirées d'automne et nos nuits réparatrices écourtées par un bébé qui n'arrive pas à se débarrasser de ces vilains microbes qui se délectent de notre climat humide à souhait.

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dimanche 16 décembre 2012

Kirikou et mon petit cinéma de village

Alors oui, ce nouveau Kirikou est sorti en salle le 3 octobre dernier. Alors oui, je vous en parle deux mois après. Non pas que nous sommes allés le voir avec mon grand courant octobre mais bien que nous avons découvert ce troisième volet seulement hier, 15 décembre.

Quel cinéma peut oser ne le diffuser que maintenant me demanderez-vous ? Et bien, tout simplement, mon petit cinéma de village. Car mon petit cinéma de village ne propose qu'une séance unique toutes les trois semaines en moyenne. Et comme mon petit cinéma de village fonctionne grâce à une association revendiquant la culture pour tous , on s'en fiche plutôt pas mal de découvrir de "nouvelles" affiches deux mois après.

On s'en fiche plutôt pas mal qu'en plus, en menant une vie bien active de maman de deux jeunes enfants, tu n'as plus le temps de te dire, "tiens, je vais aller voir quoi cette semaine ?". Ne plus aller régulièrement au cinéma, tu es bien obligée de l'accepter lorsque tu deviens parent mais ça c'est une autre histoire.

Je vous disais seulement qu'hier, nous sommes allés tous les deux, mère-fils, à notre petit ciné de village, se regarder Kirikou et les hommes et les femmes. C'était la première fois que je regardais un Kirikou. Ma foi, c'est plutôt bien fait : des images assez simples et colorées et une histoire racontée tel un conte. Des histoires plutôt : car c'est d'abord un vieillard, un genre de grand gourou qui s'adresse à nous avec une maxime générale avant de laisser place à l'histoire qui ne dure que 20/25 minutes. Nous avons eu droit à cinq histoires. Les enfants riaient, mon fils était captivé et heureux.

Rien que pour cela, j'adhère totalement à mon petit cinéma de village.
Aussi parce qu'on retrouve des voisins qui viennent également en familles.
Aussi parce que c'est réellement un loisir pas cher : 5.10€ pour les adultes, 4€ pour les enfants.

Alors : qui dit mieux ?
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lundi 10 décembre 2012

l'Hiver, le temps des douceurs de l'enfance retrouvées

Oui, on a beau entendre que l'hiver, c'est nul, qu'on est enfermé chez soi, qu'on a froid, que la période des fêtes, c'est top naze et patati, et patata et bien qu'on se le dise, l'hiver, c'est aussi cette période de l'année où on profite davantage de son intérieur, en entrant en mode cocooning dès l'automne d'ailleurs ou en concoctant des recettes bien réconfortantes.

Pas besoin d'être compliquées, de simples recettes me ramènent tout simplement dans mon enfance lorsque ma Maman nous faisait des crèmes aux multiples parfums ou lorsque mon Papa préparait une grosse marmite de soupe pour la semaine de ses quatre bambins (qui n'étaient pas des petits mangeurs...).

Ces simples recettes, c'est un peu le rituel de la fin de semaine car elles remettent nécessairement du baume au coeur pour les débuts de semaine ;-)

Une recette réconfortante, ça peut être des crèmes à la pistache

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mardi 4 décembre 2012

De l'envie d'expatriation - Barcelona, mi Amor #1


29 août 2003. Mon dernier jour de travail chez Avis à Cherbourg. J'avais été embauchée un peu plus d'un an plus tôt, en juin 2002. Mon premier job juste après avoir passé mes examens de BTS Tourisme. Je ne l'avais pas encore ce BTS et pourtant, j'avais déjà ce job. Vu comme ça, c'est un premier job sympa, un poste polyvalent où tu parles beaucoup l'anglais en saison quand les lignes maritimes fonctionnent à plein tubes entre l'Angleterre, l'Irlande et Cherbourg. On apprend à s'adapter aux différents types de clientèle que l'on rencontre, des clients avec lesquels on discute beaucoup ou au contraire beaucoup moins.
Et puis, BING. Dans ton quotidien estival plein d'activité, tu apprends un jour que Avis possède une centrale de réservations à Barcelone. Oui, à Manchester, ça, je le savais, mais à BARCELONE ! Oui, ça a résonné tel quel dans ma tête, BARCELONE ! La ville de tous les mes rêves, la ville où tu voudrais partir un peu à l'aventure et où je me suis imaginée vivre tout de suite. Barcelone, cette ville me fait toujours autant vibrer 9 ans après...

Des études à l'étranger, c'était un rêve. Un rêve qui n'a malheureusement pas pu s'accomplir mais dont je tairais la raison car ce blog n'est en aucun cas une façon de régler mes comptes et parce que surtout, je n'en vois pas, plus l'intérêt. On a évolué depuis et Dieu merci.
Partir à l'étranger était donc un rêve et surtout quelque chose qui demeurait là dans ma tête, qui sommeillait, un rêve qui deviendrait réalité dès qu'il pourra être rendu possible, j'en étais convaincue.

Donc, l'opportunité que m'a offerte mon premier job, je ne pouvais la laisser passer. "Barcelone" : Anne-Claire, c'est une occasion inespérée, tu es jeune, tu adores voyager et parler les langues étrangères, tu ne dois pas laisser passer cela.

J'ai alors pris cette décision de partir travailler en tant que téléopératrice dans la centrale de réservations, pris cette décision de rendre mon 1er appartement, de quitter quelque temps ma famille et mes amis et des collègues extra dont je n'ai depuis jamais retrouvé pareille gentillesse et de peut-être croire que la relation avec mon 1er boyfriend durerait malgré la distance.

J'avais tout préparé sans jamais regretter malgré la galère pour dégoter un appartement en colocation décent et abordable, malgré l'inquiétude de ma maman (qui est de toute manière inquiète à chaque fois que sa fille bouge un peu), malgré les larmes de crocodiles qui ont coulé lors de ma dernière journée avec mes super collègues, malgré un espagnol scolaire de langue vivante III quelque peu bancal (fait qui me motivait de toute façon davantage : challenge accepted) et surtout parce que ce sentiment d'inachevé allait enfin pouvoir s'effacer, parce que je le voulais, parce que je partais de mon propre fait et complètement indépendante dans cette ville au nom magique, cette ville totalement inconnue qui allait tout simplement me transformer.

BARCELONA, Tu me echas de menos pero te quiero para siempre ♥

à suivre...

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dimanche 2 décembre 2012

Compte à rebours


Et oui, on a bien sûr ouvert la 1ère fenêtre du calendrier de l'avent hier mais sommes également allés de bon matin au marché de noël et bourse aux jouets organisés par l'école du plus grand.
On a chaussé les bottes et en route !
De la petite section au CM2, chaque élève avait fait de ses petites mains une décoration de Noël, voire plus si le temps l'avait permis.


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dimanche 25 novembre 2012

Gâteau de Carottes

Il y a longtemps que je voulais en faire un. 
C'est comme un cheesecake, j'ai acheté il y a plusieurs mois un moule à charnière pour mettre toutes les chances de mon côté mais ne me suis pas encore lancée, je compte bien y remédier vite !

Revenons à nos moutons.
On a donc essayé avec le fils de faire un bon gâteau aux carottes.
C'est simple et plutôt rapide :

Il vous faudra :
- 2 carottes de taille moyenne
- 50 g de poudre d'amandes
- 75 g de sucre
- 3 oeufs
- 100 g de farine
- 1 zeste de citron
- 1 jus d'orange
- 75 g de beurre
- 1/2 sachet de levure

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dimanche 18 novembre 2012

Un DIY simple comme bonjour (jouet fait maison)


Vous avez vu l'éclate ?
Je vous propose de réaliser un jouet pour vos petits et entre nous, je ne pensais pas qu'il ferait autant d'effet ;-)

Que vous faut-il ?

Une boite de chocolat en poudre préalablement vidée (désolé pour la pub, ceci est un billet non sponsorisé)



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jeudi 15 novembre 2012

Les Cranberries ont-ils fait leur temps?

"Mouais".
Voilà le mot d'après-concert qui résumait mon état d'esprit après le concert des Cranberries à Caen samedi dernier.
Un "Mouais" qui témoigne encore de ma perplexité quant à ce concert et à la performance du groupe.

Je me faisais une joie de les revoir, ce groupe qui avait notamment bercé toute mon adolescence avec des mélodies qu'on connait forcément même si on ne sait pas toujours mettre un titre dessus : "Dreams", "Linger", "Analyse" et bien entendu l'incontournable "Zombie".

The Cranberries, c'est aussi leur dernier album Roses, beaucoup plus posé, se laissant écouter lorsqu'on souhaite se retrouver au calme et laisser retomber cette pression inhérente au train de vie d'aujourd'hui.

Alors, je me demandais s'ils interpréteraient beaucoup de ce dernier album.

La réponse est oui , et non ! (pardon, je ne suis pas Normande pour rien) Les titres étaient intercalés entre les anciens tubes et ma foi, tout s’enchaînait très bien, les Cranberries en concert, c'est une certaine continuité et fluidité pendant 1 heure et demie.

Sauf que voilà, de la fluidité, ce n'était pas forcément ce que j'attendais des Cranberries : même si les membres du groupe ont excellé dans leurs performances musicales (Dolores ne les a même pas présenté cela dit), même si Dolores O'Riordan a tenté quelques phrases en français, parlé un peu en anglais et a changé 3 fois de tenue, il a tout simplement manqué ces notes de folie au sein de ce concert et surtout l'impression de ne PAS faire partie intégrale du concert : nous étions seulement spectateurs, comme l'on peut l'être devant sa télévision.
L'interactivité du groupe avec son public, voilà ce qui manquait, et c'est pourtant ce qui est essentiel selon moi pendant un concert. Il nous faut un peu plus qu'un album interprété en live, pour sûr !

Donc Dolores, ton nouvel album No Baggage, je l'écouterai très certainement car j'adore par dessus tout ta voix, mais quant à me déplacer pour venir te voir en concert, c'est une autre histoire...
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dimanche 11 novembre 2012

Il n'y a pas que les Foulées pour se défouler !


Je vous l'accorde, elle était easy celle-ci.
Ce dimanche, Cherbourg organisait donc ses Foulées de la Presse de La Manche qui ont lieu tous les 11 novembre depuis 31 ans. Les Foulées, ce sont des milliers de coureurs amateurs ou non qui envahissent les rues de Cherbourg dès 13h30. Et les Foulées ce sont surtout une occasion de s'amuser, de venir courir entre amis, en famille ou encore entre collègues et même déguisés pour ceux qui le souhaitent (j'ai notamment aperçu un groupe de joyeux stroumpfs, c'était très drôle à voir).
Bref, les Foulées se veulent avant tout festives, l'occasion de partager un moment agréable pour tous les Cotentinois et autres participants venus de beaucoup plus loin : les Favoris Dames étaient cette année russe, ukrainienne, éthiopienne, kenyane et aussi française !
Les Foulées, ce sont des courses pro et une grande course populaire de 7 km. La "pop" était programmée cette année à 15h50 et juste avant, à 15h30, Laëtitia, un des Zumba instructor officiel de la communauté urbaine, conviait ceux qui le souhaitaient à faire une petite démonstration de Zumba !
Une annonce était parue plusieurs fois dans le journal local, La presse de la Manche, l'organisation paraissait bien rodée. Sauf qu'à 15h25, pas l'ombre d'un drapeau ou oriflamme zumba pour indiquer où débuterait ce petit show. J'ai cherché un moment, suis allée vers les tentes des organisateurs, puis alléluïa, j'aperçois toute un groupe de fille hystériques en tee-shirt bleu turquoise "Laeti Zumba". Cool, cool, c'est parti !

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lundi 5 novembre 2012

Un dimanche matin dans la Monaco du Nord


Lendemain de fête d'anniversaire. Nous sommes à quelques 100 kilomètres de la maison et avions réservé une chambre d'hôtel où nous avons dormi 5 heures tous ensemble, tous les 4. Vite, le petit déjeuner et il nous tarde d'aller profiter un peu de ce soleil qui annonce une très belle matinée (et d'aller prendre l'air de la mer pour nous réveiller). Nous décidons de nous rendre à Granville, à 20 minutes d'ici (et à peine une cinquantaine de kilomètres du Mont-Saint-Michel). Granville, surnommée quelquefois la "Monaco du Nord" du fait de son implantation sur un promontoire rocheux.

Nous commençons notre ballade par la plage du Plat Gousset et le Casino. Ce sont les vacances et qui plus est un weekend prolongé, ça se voit, il y a pas mal de monde qui se presse dans les boutiques ouvertes du centre-ville et dans tous les coins de promenade de la ville.
Plage du Plat Gousset

A proximité, le Quartier Saint-Paul où se laissent admirer les villas balnéaires de la station touristique.

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mardi 30 octobre 2012

Une promenade dans le marais?



Mais non, pas le Marais à Paris mais bien dans le marais, vous savez ce paysage gorgé d'eau à la végétation abondante !

Je voulais vous parler de notre bel après-midi passé à la Maison du Parc du Cotentin et du Bessin lors des dernières Journées du Patrimoine. Oui, je sais, il y a un bail mais que voulez-vous, à la mi-septembre ce blog n'existait pas. Et si vous êtes sage, je vous parlerai aussi très certainement de ma découverte new-yorkaise en août dernier (et qui date donc aussi :-P).
Donc, revenons-nous en à nos moutons : la Maison du Parc !
Celle-ci vous accueille à Saint-Côme-du-Mont, pour vous situer un petit peu, plus ou moins à mi-chemin entre Caen et Cherbourg.
Cette Maison et la découverte du marais environnant, il y a fort longtemps que je souhaitais m'y rendre tout simplement parce que je suis fascinée par ce si joli paysage de marais qui diffère selon l'heure de la journée, la météo, les saisons, la hauteur et la superficie de l'eau qui le recouvre,...
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jeudi 25 octobre 2012

Il était une fois une Tornade.

21 avril 2011, 4h37, me voilà à J-9.
Une arrivée rapide, Maman a à peine eu le temps de profiter des bienfaits de la péridurale. 
Ce 21 avril a commencé de la même façon que je vis aujourd'hui, 18 mois après, soit très rapidement.
Je m'appelle Aurore. Aurore, c'est un joli prénom, sensé évoquer le calme, une certaine sérénité.
Mais Aurore veut dire tout autre chose dans notre foyer. Aurore, c'est un terme de tous les instants, Aurore, on ne peut l'oublier, m'oublier, tellement je montre que j'existe, tellement je suis pleine de vie.
Aurore est la petite deuxième et elle adore faire courir et faire peur à papa et maman. Elle adore aussi embêter son frère sans arrêt et lui détruire ses circuits & compagnie.


Nous avons eu la chance de connaître d'abord un bébé très calme, posé, qui a pris le temps d'apprendre, de comprendre ou de vivre les choses. Un bébé qui a tout bien fait par étapes pour que papa et maman puissent aussi en profiter pleinement, profiter pleinement de cette nouvelle vie de parents et prendre le temps, tout simplement, d'apprendre à être parents.



J'avais toujours entendu qu'un enfant ne faisait pas l'autre.

Oui, effectivement, il nous est arrivé de se poser la question : "mais elle tient de qui ?" "mais pourquoi est-elle si différente de son frère petit ?" ou de se regarder simplement bouche bée tellement la regarder vivre nous laissait sans voix. Mais pourquoi fouille-t-elle dans la poubelle ? Mais comment a-t-elle eu l'idée d'aller dans le buffet où sont rangés les biscuits ? Mais pourquoi enlève-t-elle les CD rangés dans la bibliothèque ? 
Pourquoi alors que son frère n'a jamais touché à tout ça ?


Parce que notre fille est une tornade et qu'elle déploie une énergie impressionnante. Oui, c'est sans doute cela qui nous rend si hagards : qu'une petite fille de 18 mois déploie autant d'énergie.

Car on ne compte plus non plus les gadins qu'elle se prend sans jamais broncher.


Notre fille est une Tornade, qu'on se le dise.
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dimanche 21 octobre 2012

Une éclaircie.

21 octobre 2012.
Je me lance.
ça y est, j'ai commencé à créer mon blog et j'espère maintenant que je saurais l'alimenter suffisamment pour que vous ayez l'envie de venir me lire régulièrement.
Pourquoi aujourd'hui ?
Aujourd'hui, ma fille prend 18 mois mais je ne crois pas que ce soit vraiment l'élément déclencheur.
Le déclencheur ? Peut-être cette photo que j'ai pris cette semaine, cette semaine où j'étais en arrêt maladie, j'avais besoin de faire un peu le vide et de "prendre de la hauteur" ou "du recul"(c'est comme ça qu'on dit paraît-il). Cette photo que je trouve pleine d'espoir : malgré ces gros nuages gris menaçants,  le soleil -"mon" soleil- ose batailler pour prouver que lui aussi il a l'intention d'être là.
C'est sans doute mon état d'esprit du moment.
En avril dernier, j'ai pris 30 ans. Sur le coup, ça ne m'a fait ni chaud, ni froid. Mais 6 mois plus tard, je me demande si ce n'est pas ce cap qui fait qu'aujourd'hui je me pose des questions sur ma vie, et plus précisément, sur ma carrière professionnelle.
Car à 30 ans, je n'ai pas envie de me laisser porter et de me dire que "c'est partout pareil".
A 30 ans, je veux encore croire qu'il y a un job où je m'épanouirai pleinement et une entreprise avec laquelle je veuille avancer et progresser.
Peut-être que mon poste actuel va évoluer et que d'ici peu de temps, je me retrouverai dans ce que je veux.
Ou peut-être pas.
Et là, je bataillerai moi aussi car à  30 ans, je crois encore que lorsqu'on donne beaucoup de soi et qu'on s'implique totalement, l'entreprise sait le reconnaître.
Et vous ? Vous en pensez quoi ? Vous osez vous battre chaque jour afin de parvenir à vos fins et surtout d'être bien dans votre travail ?
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