mercredi 27 février 2013

New York City et la découverte des Etats-Unis d'Amérique.



Qu'est-ce qu'on peut changer en dix ans.

A vingt ans, je n'aimais pas les Etats-Unis. On est parfois bête quand on a vingt ans, parce que
1.      je n'aimais pas les Etats-Unis alors même que je n'y avais jamais mis les pieds,
2.      je n'y voyais que le mal propre à la société capitaliste et consumériste.

Sauf qu'à trente ans, j'ai voyagé pour la première fois de l'autre côté de l'Atlantique et j'ai fait le choix d'aller découvrir New York.
New York, le rêve de mes trente ans.

Alors, en dix ans, on évolue et heureusement me direz-vous.
A vint-six ans, ça trottait déjà dans ma tête : « qu'est-ce que ce serait bien si je pouvais découvrir New York pour mes trente ans ! »
Et c'est arrivé.

J'imaginais une ville aux multiples facettes, aux quartiers très différents, aux cultures cosmopolites, une ville qui nous est matraquée au cinéma, dans les séries, aux informations, dans les publicités.

Une ville que l'on chante.
Une ville aux monuments mythiques.
Une ville et le 11 septembre.
Une ville et le base-ball.
Une ville et ses concerts dans les stades.
Une ville et Central Park.
Une ville sur des îles.
Une ville gigantesque.
C'est tout ça et même encore plus qui a fait que je voulais la découvrir par moi-même et non plus me contenter de la lire via les nombreuses expériences racontées sur les blogs.

Un soir de décembre 2011, j'ai réservé nos vols . Ça y est, on irait à NYC en août prochain.
S'ensuivirent ensuite :
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dimanche 24 février 2013

Du printemps à l'hiver

La météo nous réserve bien des surprises cette année. Je ne parle pas de la flotte que nous avons eu à outrance car ça, c'est une bien mauvaise surprise, qui n'est plus une surprise d'ailleurs tellement ça en était devenue une habitude. Non, la surprise d'hier matin, c'était un jardin tapissé de blanc. La neige n'était pas aussi abondante qu'à la mi-janvier mais c'était tout aussi joli et magique pour les enfants.
Nous sommes finalement sortis un peu dans le jardin en fin d'après-midi malgré le fiston qui se remet d'une belle bronchite, la neige avait déjà bien fondue mais le spectacle était toujours au rendez-vous !
à 8h30, samedi matin



Mon olivier en aura expérimenté des climats si différents...



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mercredi 20 février 2013

Red


Un slim rouge. Une lubie de fille.

ça faisait deux ans que je voulais un slim rouge, mais sans vraiment chercher de toute manière. 
Il faut dire qu'entre temps, j'ai fait un bébé aussi ;-)

Quoiqu'il en soit, cette lubie de slim rouge est revenue à moi début janvier complètement par hasard lorsque je suis entrée chez Promod après avoir reçu une invitation pour leurs ventres privées d'avant soldes.

Et PAF : LE slim rouge tant convoité deux automnes auparavant est apparu. Un slim rouge à quinze euros, on l'essaye quand même mais à ce prix là, on ne réfléchit pas, direct dans le panier.

Et puis, hop, je tombe aussi sur un petit pull qui pourrait très bien aller de pair avec ce slim. Quinze euros également. (j'ai la fâcheuse manie d'acheter presque toujours un haut qui irait avec un bas et vice versa, ça fera beaucoup sourire une amie lorsqu'elle me lira ;-) ).

 Cet ensemble, je voulais vous le montrer en photos. C'était samedi dernier dans la Hague, il commençait à faire beau dans le Cotentin, nous en avons profité pour sortir les bouts de nos nez au maximum.

Mais cette tenue est également parfaite lorsqu'il fait tout gris dehors : un peu de pep's dans ce monde de brutes, non mais !


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jeudi 14 février 2013

Troquer une vie pro confortable pour une un peu plus rock n'roll. L'essai était presque transformé.

Je croyais que ce fournisseur me draguait. Les œillades étaient ambigües et cette invitation à déjeuner d'avant les congés de Noël malvenue. Plusieurs fois, je m'étais arrangée pour ne pas aller chercher nos commandes directement à son agence, je me méfiais comme de la peste de ses œillades bizarres. Et puis, à J-1 d'un salon, il a bien fallu que je me résigne à aller chercher la marchandise qui venait d'être terminée. OK, il me présente la marchandise, me fait faire le tour de son agence et là, BIM, il m'annonce qu'il souhaite me parler de quelque chose.


Il m'annonce finalement son envie d'ouvrir un magasin et souhaiterait que l'on s'associe.

RE-BIM. Je prends cette annonce un peu dans la face, un peu retournée, ce n'est pas tous les matins qu'on te demande un truc pareil.
Ce qui m'a le plus surpris je crois, est qu'on ne se connaissait pas plus que ça. Pour moi, des associés doivent bien se connaître pour savoir s'ils peuvent travailler ensemble. Certes, me répond-il mais nous allons aussi apprendre à nous connaître d'ici l'ouverture du magasin.
D'accord, laisse-moi digérer un peu cette nouvelle, juste histoire de m'imaginer ce que ça pourrait donner, ce que ça pourrait m'apporter et aussi évaluer ce que je pourrais y perdre, éventuellement.
Nous  nous sommes revus 3 fois en une semaine dont une fois à un dîner avec les conjoints et les enfants pour que nous fassions tous connaissance.
J'ai avalé du catalogue fournisseur pendant plusieurs jours, histoire de m'imprégner et de commencer à faire des choix de gamme.
Nous avons organisé un déplacement de deux jours pour rencontrer un couple qui tenait un magasin du même type à 600 km de chez nous et pour y rencontrer deux éventuels fournisseurs cette fois-ci à 900km.
A la fin de ce déplacement, je m'étais déjà faite à l'idée de changer de vie, une véritable opportunité m'était donnée.
Je reste convaincue que nous restons acteurs de sa propre vie, que nous pouvons y arriver en se donnant les moyens et en travaillant beaucoup.
J'allais quitter un poste pas dégueulasse avec des horaires confortables du lundi au vendredi. De l'autre côté, j'allais travailler beaucoup plus (forcément lorsqu'on crée quelque chose et qu'on y injecte des billes, on se donnera nécessairement encore plus) et profiter beaucoup moins de ma famille et mes amis.
Un poste confortable où je ne me dis pas chaque jour "Chouette, c'est vraiment ce que je voulais faire dans ma vie !" (quelquefois oui mais pas tous les jours, là est le hic)
Vs
Un statut d'entrepreneur où ma vie privée sera mise entre parenthèses pendant plusieurs mois mais où j'ai l'opportunité de me donner encore plus, de m'épanouir professionnellement grâce à la polyvalence inhérente à un créateur d'entreprise (le touche à tout, c'est ma came) et l'envie de m'investir et de me donner les moyens pour à terme espérer profiter de retombées financières plus rondelettes.
Sauf que
Ce projet s'arrêta quasi net le lendemain du déplacement. La faute à un mail de trop. Un mail où mon ex-futur associé faisait ressortir les plus et les moins de ma personne, un "petit bilan d'après-déplacement".
Sauf que les plus faisaient quatre lignes, les moins quinze.
Quinze lignes plutôt violentes où il avait raison sur certains points (notamment de ne pas l'avoir remercié quant à la prise en charge des frais par sa société actuelle. C'est juste qu'en deux jours, une nouvelle fois, il y a tant de choses qui me sont passées par la tête, tant de choses qui m'occupaient l'esprit, tant de choses que j'ai découvert, j'ai sur le coup certainement oublié quelques bonnes manières tellement j'étais ailleurs et dans mes pensées).
Mais quinze lignes qui comprenaient trois vilains mots très violents.
Je sais accepter la critique, je la vois comme constructive en général mais ces trois mots, non.
Trois vilains mots qu'on ne m'a JAMAIS adressé en presque 31 ans.
Trois vilains mots incompatibles avec ma personne selon les dires de personnes proches dans mon entourage.


Et trois vilains mots qu'on ne peut accepter de quelqu'un qui te connait à peine. 

C'était le mail de trop.
Tu auras beau dire que c'était un test, je ne le crois pas, je crois seulement que nous n'étions absolument pas faits pour nous associer finalement.
Cette envie d'entreprendre ou d'occuper un poste à plus fortes responsabilités est évidente pour moi.
Je n'ai pas pour objectif de m'enraciner dans un poste confortable, tout ça parce que les horaires sont super, les fonctions correctes et le salaire pas si dégueulasse.
J'ai simplement envie d'un vrai challenge professionnel.
Alors, ce n'était pas cette fois-là.
Une autre fois, je dois m'en donner les moyens.
Mais vous ? Votre carrière professionnelle, vous lui accordez quelle importance : plutôt du genre confortable pour profiter un maximum de vos proches ou bien un peu plus rock n' roll parce que vous en avez besoin ?

Que croyez-vous le mieux : le confort et la possibilité de profiter quasi pleinement de ses proches ou bien l'épanouissement personnel dans sa carrière pro en laissant forcément passer des choses dans sa vie privée ?
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mardi 12 février 2013

Cheesecake au chocolat blanc


Certes, des recettes de cheesecake, on a vu et revu. Mais franchement, pour vous dire la vérité vraie, cette recette à suivre, je l'ai trouvé très simple, parfaite pour réaliser le premier cheesecake de sa vie !

Il y avait longtemps que je voulais me lancer, j'avais déjà mon moule à charnière depuis quelques mois mais voilà, il me fallait LA recette qui me donnerait envie de me lancer pour de bon !

Cette recette, je suis tombée par hasard dessus au bureau grâce aux "cantines logistiques" destinées aux salons professionnels (pour "cantine logistique", comprenez une grande caisse où vous trouverez des vivres diverses mais essentielles : champagne, vin, pastis pour les commerciaux très orientés TP, biscuits sucrés ou encore biscuits salés). Ce jour là, je tenais une boite de biscuits Thé de Lu et c'est donc là que je découvre LA recette : CHEESECAKE AU CHOCOLAT BLANC.
Ok, le chocolat blanc, ce n'est pas ce que je préfère mais l'homme si. C'est parfait, l'homme sera LE cobaye qui appréciera ou pas cette recette.

Alors, pour un cheesecake de 8/10 personnes, que vous faut-t-il ?

- 32 biscuits Thé de LU (le 32, je vous assure que je ne comprends pas, vous pourrez en mettre 28 ou 35, il ne vous en voudront pas chez Lu)
- 100g de beurre
- 225g de fromage frais (le Philadelphia est bien entendu la référence mais du Saint-Morêt ou tout autre fromage frais fera tout aussi bien l'affaire : pas de Philadelphia dans mon Super U de village, leur fromage frais U fut très bien)
150g de fromage blanc
25g de sucre
le jus d'une orange
Un blanc d'oeuf
200g de chocolat blanc

Et c'est parti ! 
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dimanche 3 février 2013

Premier de judo




Notre fils, nous en faisons un intellectuel. La maison regorge de livres, de puzzles, de jeux de lettres ou autres mémos.
Notre fils, lorsque tu lui demandes ce qu'il voudrait que le Père Noël lui apporte, il te répond "un jeu d'échecs".
Alors, c'est plutôt amusant de le voir en exercice au judo débuté cette année.
Hier, il a participé à son 1er tournoi. Sur une quinzaine d'Eveil-Judo de son club, ils n'étaient que 2. Mais 1er bon point, il n'avait pas l'air intimidé pour autant et s'est rendu tout fier sur le tatami pour commencer les échauffements.
 2ème bon point : notre petit judoka est bien attentif, écoute et reproduit parfaitement ce qu'on lui demande de faire même s'il exécute les exercices à son rythme, soit tout en douceur.
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